Il reste en général plutôt discret – peut-être parce qu’il est le cadet de la famille : James Middleton s’est exprimé hier dans une interview donnée à ABC News aux États-Unis. À 27 ans, gérant d’une entreprise qui vend des marshmallows personnalisables, il ne se cache pas : il veut être le meilleur oncle du monde pour George, et pour le deuxième enfant de Kate et William.
James Middleton est le moins exposé de la famille Middleton : ses deux sœurs Pippa et surtout Kate s’arrogent en général tous les honneurs de la presse et des citoyens britanniques. Il n’en reste pas moins le beau-frère du prince William, et surtout l’oncle du royal baby George : un rôle qu’il prend très au sérieux, comme il l’a dévoilé dans une récente interview accordée à la chaine américaine ABC News.
« Je veux être le meilleur oncle possible, comme tous les oncles qui existent, a ainsi confié l’entrepreneur it-boy malgré lui. Je veux être l’oncle le plus cool, l’oncle drôle ! » Un rôle qu’il dispute avec le prince Harry : bien que James Middleton parte avec une longueur d’avance puisqu’il possède une entreprise qui vend des marshmallows (parfait pour les enfants !), le frère du prince William, lui, s’est entraîné pour s’occuper de son neveu George. La bataille est donc rude, et la naissance d’un nouveau royal baby en avril prochain ne devrait pas la rendre plus aisée.
Même s’il ne fait pas partie de la famille royale, James Middleton voit régulièrement sa sœur et son neveu : « Nous sommes une famille très soudée, explique-t-il, on se voit et on se téléphone tout le temps. Je vais déjeuner avec eux le dimanche, ou bien je passe boire un café. » Le frère cadet de Pippa et Kate conclut en se remémorant le mariage qui a uni cette dernière au prince William : « Ce qu’il y a de plus merveilleux avec ce mariage, qui sera pour toujours dans mes souvenirs, c’est que malgré le fait que des millions de gens regardaient la cérémonie, ça gardait la saveur d’un mariage familial, en petit comité. » Une impression que le discret James Middleton ne peut qu’apprécier.
Crédits photos : Ray Tamarra
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