Mise à jour: Suite la médiatisation de la pétition de Nicolas Bousquet, les équipes de la Fondation Carla Bruni ont tenu à apporter un rectificatif sur le coût su site internet de la dite fondation. Selon eux: «Tous les contenus visibles sur ce site on été intégralement financés par la Fondation. Ils n’ont été en aucune façon financés par l’Etat ou quelque autre entité extérieure à la Fondation, et ceci depuis la création du site».Un développeur Web s’est penché sur le budget alloué au site Internet de la Fondation Carla Bruni, créé lors de la présidence de Nicolas Sarkozy et n’en revient pas. 410 000 euros payés par le contribuable mais que Nicolas Bousquet et sa pétition espèrent bien faire rembourser par la principale intéressée.
Le raffinement et le style de Carla Bruni sont connus et admirés partout le monde, mais cette distinction a un prix. Ne laissant rien au hasard lors de son mandat de Première dame, la chanteuse a souhaité un site internet à son image quitte à y mettre le prix.
C’est là que le bât blesse pour Nicolas Bousquet. Ce développeur Web français a épluché le rapport de la cour des Comptes pour s’apercevoir que le site internet de la Fondation Carla Bruni a coûté 410 000 euros en tout au contribuable. Une somme astronomique pour celui qui estime que cette plateforme aurait pu être réalisée «pour moins de 10 000 euros». Il soulève également le fait que 8 personnes ont travaillé pour «générer les articles à poster su ce site» qu’il considère comme de «l’autopromotion», et ce, pour 61 000 euros par mois.
Ainsi par le biais d’une pétition sur le site Change.org, Nicolas Bousquet demande à Carla Bruni-Sarkozy de réinvestir ces 410 000 euros dans des associations caritatives. 30 000 personnes ont déjà signé cet acte et son créateur n’est pas prêt à baisser les bras. Sur le site de la fondation de l’ex-mannequin, on peut lire qu’elle vient en aide aux «publics vulnérables», voila donc pour le développeur l’occasion idéale pour l’épouse de Nicolas Sarkozy de mettre en forme son souhait… Bien que l’UMP soit aussi ces dernier temps un public vulnérable à la recherche de financements.
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