Click:cnc machining service
Les femmes qui ont eu un cancer du sein de type hormonodépendant et qui souhaitent faire un enfant présenteraient moins de risques de complications pour le bébé à naître, indique une
étudeaméricaine publiée dans l’International Journal of Cancer.
Les naissances étaient moins fréquentes chez les femmes ayant reçu une chimiothérapie et chez les femmes ayant eu un cancer du sein à un stade plus avancé, précise l'étude.
Le risque d’accoucher prématurément ou d’avoir un bébé de poids insuffisant peut dépendre du type de cancer du sein que les femmes ont connu avant leur grossesse, révèle une étude réalisée par des chercheurs du Centre de cancérologie de l’université de Caroline du Nord aux États-Unis.L’étude a suivi 4.978 Américaines diagnostiquées avec un cancer du sein entre 2000 et 2013. Environ 8% d’entre elles avaient eu au moins un enfant 10 ans après leur diagnostic.Les naissances étaient moins fréquentes chez les femmes ayant reçu une chimiothérapie et chez les femmes ayant eu un cancer du sein à un stade plus avancé, précise l’étude.Les chercheurs ont notamment regardé si les nourrissons nés prématurés (âgés de moins de 37 semaines) étaient en dessous du poids normal, de petite taille pour l’âge gestationnel ou nés par césarienne.Les résultats sont encourageants pour les femmes qui désirent concevoir un enfant après un diagnostic de cancer du sein. D’après les observations, il n’y a pas eu d’augmentation de la prévalence des naissances prématurées, de césarienne, le faible poids de naissance, de l’âge gestationnel chez les femmes avec un cancer du sein.Cependant, l’étude montre une différence de la survenue de complications en fonction du type de tumeurs : un risque accru de naissance prématurée, de faible poids à la naissance et de césarienne a été observé chez les femmes atteintes d’un cancer du sein dit à récepteurs œstrogéniques négatifs : 18% des naissances étaient prématurées contre 10% de l’ensemble des naissances de l’étude.Les femmes ayant connu un cancer du sein hormonodépendant dit “positif aux récepteurs œstrogéniques” ne présentaient pas de risque accru d’accouchement prématuré, soulignent les chercheurs qui ont l’intention de confirmer ces résultats par de plus larges recherches.
Comments are closed