Le 14 novembre, un rapport d’expertise était remis au jugeMarie-Odile Bertella-Geoffroy, saisie d’une information judiciaireaprès des plaintes de patients atteints de scléroseen plaques et qui attribuent leur maladie au vaccin contrel’hépatite B. Ce rapport établi par le Dr Girard meten cause les pouvoirs publics qu’il accuse de“déformations“, “dissimulations“ et d’avoir“minimisé“ les risques. Le 21 novembre, le TribunalAdministratif de Marseille reconnaît l’Etat“entièrement responsable des conséquences de lavaccination contre l’hépatite B chez une femme de 50 ansatteinte de sclérose en plaques“ et le condamne àverser 30 000 €uros de provision. Regroupant les personness’estimant victimes du vaccin, le réseau vaccinHépatite B espère de son côté que cejugement ouvrira la porte à d’autres allant dans lemême sens.
Cette décision va de nouveau jeter la suspicion sur cettevaccination alors que l’Agence française desécurité sanitaire des produits de santé(Afssaps) avait apporté en milieu de semaine desprécisions se voulant rassurantes : “les conclusions del’évaluation par l’Afssaps des données, issues de lanotification spontanée et des étudesépidémiologiques, ont constamment faitapparaître que les résultats ne démontrent pasl’existence d’un risque de survenue d’affectiondémyélinisante associé à la vaccinationcontre l’hépatite B, et qu’ils permettent de conclureà l’absence d’un risque important, sans toutefois permettred’exclure la possibilité d’un risque faible“. Enfin, ellerappelait également que l’Académie des Sciencesaméricaine avait rejeté le 30 mai 2002,l’hypothèse d’une relation causale entre l’administration duvaccin contre l’hépatite B chez l’adulte et la survenue desclérose en plaques.
Source : communiqué de presse del’Afssaps du 14 novembre 2002-11-19Click Here: New Zealand rugby store

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