Il n’y a plus de zones à éviter à causedu syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Depuisle 24 juin, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) alevé sa recommandation de différer tout voyage nonessentiel à destination de Pékin (Chine). Cette villeétait, dans le monde, la dernière zone pour laquellecette recommandation s’appliquait. Ces nouvellesrecommandations sont basées sur plusieurs facteurs : lenombre de cas probables de SRAS, le profil de la transmissionlocale récente et les dernières dates auxquelles descas ont été exportés.
Le dernier cas signalé à Pékin datant du 29mai, le docteur Gro Harlem Brundtland, a déclaré“Nous modifions la recommandation pour les voyages à Beijingà compter d’aujourd’hui, 24 juin.C’était la dernière zone pour laquellel’OMS recommandait de différer tout voyage qui ne soitpas indispensable. C’est une très bonne nouvelle quimontre les énormes progrès que le monde a fait dansla lutte contre le SRAS“.
Mais les scientifiques se gardent bien de tout triomphalisme.Réunis en Malaisie le 18 juin, les chercheurs du mondeentier ont rappelé que le nombre de mutations continuaitd’augmenter et il pourrait en résulter une plus grandevirulence du virus. D’autre part, les origines du virusrestant inconnues ou supposées comme animales fontqu’il apparaît impossible d’éradiquer le“réservoir“. Les autorités sanitaires internationalesdoivent ainsi rester sur leurs gardes, c’est pourquoil’OMS recommande de maintenir les systèmes desurveillance pendant au moins un an.
Source : Communiqué de presse del’Organisation Mondiale de la santéClick Here: new zealand rugby team jerseys

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