Auprès de Oprah Winfrey, ce dimanche 7 mars, Meghan Markle a révélé avoir été privée de son passeport ou encore de ses clés. L’auteur Robert Lacey a expliqué pourquoi ce mercredi 10 mars.

Pour intégrer la famille royale d’Angleterre, Meghan Markle a été contrainte à tous les sacrifices. Mais à en croire ses propos au cours de son interview vérité avec Oprah Winfrey, ce dimanche 7 mars, la duchesse a également été obligée de renoncer à son passeport, ses clés et même son permis de conduire. Une privation de sa liberté ? Ce mercredi 10 mars, l’auteur Robert Lacey l’a nié et a dévoilé les raisons d’une telle demande de la Firme à la la chaîne britannique BBC. “Meghan a été obligée de remettre son permis pour des raisons de sécurité, a-t-il amorcé, “si elle sortait seule, elle n’aurait pas été protégée.”

Une mesure de “routine” d’après Robert Finch, président de la Ligue monarchiste du Canada. Selon ce dernier, les documents sont ensuite “conservés dans un coffre-fort (…) sous l’œil de la sécurité générale du palais.” À demi-mot, cet informateur accuse donc Meghan Markle de romancer ses propos, comme d’autres ont pu le faire avant lui. “Cela correspondait au récit de Meghan sur le fait d’être piégée et isolée, mais c’était vraiment une routine, et tout lui aurait été accessible si elle l’avait voulu.” Ce n’est finalement que lorsqu’elle a pris la poudre d’escampette pour le Canada que l’épouse du prince Harry a pu récupérer l’intégralité de ses biens.

“Ce ne serait pas bon pour l’institution”

Délestée de ses engagements et de son titre d’altesse, Meghan Markle a retrouvé son indépendance à Santa Barbara, là où elle a pu se procurer une luxueuse demeure avec le duc de Sussex. Mais les souvenirs de ses jours au sein de l’institution royale ont laissé des traces. D’abord pressentie comme un atout potentiellement majeur de la Couronne, à l’image de Kate Middleton et de Sophie de Wessex, l’ex-actrice a connu des moments douloureux en endossant le rôle de duchesse.

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Une période marquée par le mal-être, notamment psychique, durant laquelle elle n’aurait pas été soutenue par la Firme. “Je leur ai expliqué que je devais aller quelque part pour recevoir de l’aide (…) Ils m’ont dit que je ne pouvais pas être aidée, que ce ne serait pas bon pour l’institution.” Quelle explication pour de telles paroles, alors que de nombreux Windsor se mobilisent pour la sensibilisation autour des troubles psychiques ?

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

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