Peu d’acteurs de Desperate Housewives semblent garder un bon souvenir du tournage de la série. Après Eva Longoria qui a dévoilé avoir été harcelée, c’est au tour de celui qui campait son mari dans la série, Ricardo Chavira, de se confier.

Sept ans après la fin de Desperate Housewives, les secrets d’un tournage chaotique continuent d’émerger. En septembre, Eva Longoria a confié avoir été harceléepar une des ses collègues, dans une lettre de soutien à Felicity Huffman, adressée au juge en charge de son procès. Le procès de cette dernière, qui campait le rôle de Lynette Scavo, s’est terminé le 13 septembre.

L’actrice, qui a plaidé coupable d’avoir versé un pot-de-vin pour que sa fille soit acceptée à l’université, a écopé de 14 jours de prison, 250 heures de travaux d’intérêt général, et de 30 000 dollars -environ 27 000 eruos- d’amende. Ricardo Chavira, aussi connu comme Carlos Solis dans la série, s’en est pris à elle le lendemain du verdict. Sur Twitter, il a partagé un article sur les justifications données par Felicity Huffman durant son procès. En commentaire, il a écrit : “Privilège blanc. J’en ai vu pendant huit ans, donc je sais de quoi je parle. L’imputabilité et la responsabilité ne veulent rien dire pour ces gens.

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À l’acteur mexico-américain de confier son ressenti à propos du “white privilege” sur son ancien lieu de travail : “J’en ai vu pendant huit ans sur le tournage de Desperate Housewives. J’en ai vu depuis toujours, étant métis, et j’ai souffert de ses subtilités au quotidien, avec les préjugés culturels subis des deux côtés. (…) Désolé, mais ça craint.” Près d’un mois après sa publication, le tweet a fait l’objet d’un article du magazine Deadline. Ricardo Chavira persiste et signe. Il a partagé le papier ce mercredi 9 septembre, et écrit en espagnol : “La vérité ne pèche pas, mais elle dérange.

Crédits photos : Bestimage

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