Depuis la mort de Johnny Hallyday, sa femme Laeticia se montre courageuse devant ses filles Jade et Joy mais souffre terriblement en privé de l’absence de son homme. Pour avancer sans oublier, Laeticia Hallyday aurait choisi d’écrire à ses proches. Les mots comme remède à la douleur.
En mourant dans la nuit du 5 au 6 décembre dernier, Johnny Hallyday a laissé derrière lui des fans, des enfants et surtout une femme inconsolables. Après un superbe hommage rendu en l’église de la Madeleine et des obsèques organisées à St-Barth de main de maître, Laeticia a dû rentrer à Los Angeles afin de reprendre le cours normal de sa vie. Mais la jeune mère de famille a bien du mal à avancer. Sans Le Taulier, elle peine à reprendre goût à la vie. Heureusement, ses filles sont là et lui apportent, grâce à leurs sourires, un précieux réconfort. Depuis son retour aux Etats-Unis, Laeticia doit s’occuper de deux dossiers très épineux. Elle doit premièrement gérer au mieux l’album posthume de son défunt mari qui avait enregistré plusieurs titres avant sa disparition. Baptisé Je te promets, il devrait sortir en mars prochain. La veuve du rockeur doit également respecter les derniers vœux de Johnny Hallyday et s’occuper de l’héritage laissé par son époux.
Des tâches qui s’annoncent ardues mais heureusement, Laeticia aurait trouvé une thérapie pour avoir la force de continuer à vivre et d’affronter la réalité. Écrire pour parler de son homme à ceux qui le connaissaient parfaitement, comme par exemple Daniel Rondeau. L’écrivain avait dernièrement beaucoup ému les fans et les célébrités venus rendre un dernier hommage en l’église de la Madeleine. Il avait su trouver les mots pour parler du rockeur et avait réussi à toucher le coeur de nombreux fans. Aujourd’hui, il correspond régulièrement avec l’épouse du rockeur. “Avec Laeticia, nous nous écrivons chaque semaine. Je mesure combien elle est touchée, mais elle avance et sortira du deuil “ confie-t-il à nos confrères suisses de l’Illustré. L’écriture pour thérapie. Mettre des mots sur la douleur et parler encore et encore de l’être absent, pour qu’il continue à jamais d’exister.
Crédits photos : Abaca
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