A en croire l’écrivain britannique Tom Bower, Meghan Markle pourrait un jour se lancer dans la course à la présidentielle américaine. Reste que l’actrice devra affronter l’une de ses faiblesses : sa susceptibilité.

Quelles sont les intentions de Meghan Markle ? Cette question, pourtant simple, revêt diverses réalités. Car la duchesse de Sussex a su construire pas à pas les différents pans de sa future vie aux Etats-Unis. Outre les contrats juteux signés avec Netflix et Spotify et la mise en place de sa fondation Archewell avec le prince Harry, l’ancienne actrice semble être attirée par d’autres visées, cette fois-ci politiques. Elle qui n’a pas hésité à se prononcer en faveur du mouvement Black Lives Matter pourrait vouloir accéder à l’une des plus hautes sphères politiques : la Maison-Blanche. C’est en tout cas ce que pense l’écrivain britannique Tom Bower. Ce dernier, auteur de biographies non autorisées sur Boris Johnson et le prince Charles, s’apprête à livrer un ouvrage du même genre sur Meghan Markle. En attendant, il s’est confié auprès de Closer Magazine, dans une interview dont les propos ont été repris par le Daily Mail.

Click Here: Joao Cancelo jersey sale

A en croire l’auteur britannique, la perspective que Meghan se présente à la présidence est possible et même probable. “Je crois vraiment que c’est là qu’elle se voit aller”, confirme-t-il. Pour lui, la jeune maman aurait “toutes les qualités” pour être une candidate forte, prête à exprimer à ses ambitions politiques. Pourtant, ses présumées velléités pourraient être freinées par l’une de ses cordes sensibles : sa susceptibilité. Pour Tom Bower, Meghan Markle serait trop susceptible, pour se lancer dans une telle course qu’est celle de la présidentielle américaine. Car les politiciennes et politiciens concentrent les critiques. “Ce sont probablement les personnalités publiques qui sont le plus confrontées aux réactions négatives. Je pense vraiment qu’elle aurait du mal”, affirme l’auteur britannique.

Pensées suicidaires

En effet, Meghan Markle a pu démontrer par le passé sa sensibilité. Dans son interview accordée à Oprah Winfrey, la duchesse de Sussex avait confié ses pensées suicidaires, survenues alors que la presse britannique ne cessait de s’en prendre à elle et que l’institution monarchique ne faisait rien pour l’aider. Cette période difficile semble avoir laissé des traces tenaces chez l’ancienne actrice.

Mais cette sensibilité ne serait pas la seule difficulté qu’elle pourrait rencontrer. Car pour entamer une campagne, la jeune femme aurait besoin d’être entourée de fidèles collaborateurs. Or, depuis plusieurs semaines, la duchesse de Sussex est mêlée à un scandale de harcèlement. A en croire plusieurs de ses anciens employées, elle aurait entretenu des rapports conflictuels avec les salariés de l’institution royale, certains l’accusent même d’avoir eu un “comportement inacceptable”. Des accusations que la principale concernée a réfutées en évoquant une “campagne de dénigrement”, avant son interview avec Oprah Winfrey.

Autant d’éléments qui pourraient lui être dommageables. Mais pour Tom Bower, l’idée d’une Meghan Markle présidente reste à envisager. “Je pense qu’elle a de bonnes chances d’entrer à la Maison Blanche – et peut-être d’un jour d’aller au Royaume-Uni pour prendre le thé avec la reine en tant que présidente des États-Unis !”, s’amuse l’écrivain. “Only the sky is your limit”, pourrait-on dire aux Etats-Unis.

Crédits photos : PacificPressAgency / Bestimage

Categories:

Tags:

Comments are closed